Paris-by-cat

Promis, demain, je deviens parisienne.

Mardi 11 janvier 2011 à 8:55

 Pour être tout à fait honnête, cet article n'a ni passé ni futur.
Je veux dire par là que je n'ai absolument pas songé auparavant à ce que je pourrais écrire dedans, qu'aucun évènement ne m'a paru "à noter", que rien d'extra-ordinaire ne s'est déroulé autour de moi. En outre, il n'est pas nécessaire qu'il soit commenté, ni même lu, parce que ça n'apporterait rien.
Pourquoi existe-t-il, alors ?
Parce que je m'inscris dans mon présent, et que j'aime l'idée de le faire littéralement. L'article marque, signe ma présence, mon moi en l'instant où j'écris. C'est comme un signe qui affirmerait que je suis là, sans qu'il soit nécessaire d'en lire le contenu.

(Et puis, pour être honnête, qu'est-ce que vous voulez que je fasse à part trépigner d'impatience en attendant que Papi se réveille et que je puisse enfin prendre ma douche ?)

Je me sens beaucoup mieux après ce week-end en demi-teinte (négative), à ruminer un fatigue qui ne me ressemble pas et qu'une vilaine angine causait sans que je ne lui ai rien demandé. J'ai l'impression que ma véritable rentrée s'est faite hier en réalité, c'est curieux mais je suis réellement plus prête à reprendre maintenant.

Hier j'ai fait une contraction en Culture Générale, sur un texte de L'Amour et L'Occident, d'un auteur dont le prénom commence par D (Denis sans doute). Très très intéressant. Résultat du devoir moisi mais j'ai pris plaisir à lire le sujet. Le contraire eut sûrement été préférable, mais c'est pas grave, je me suis trouvé un bouquin à acheter s'il me prend l'envie.

Bon, le chef vient d'émerger, je file !



Lundi 4 octobre 2010 à 22:54

 Vous savez pourquoi la plupart des capoeiristes sont noirs ?

Parce qu'ils évitent ainsi d'avoir un teint cramoisi dès la 10ème minute.

Vendredi 1er octobre 2010 à 22:33

Aujourd'hui, station Bastille, alors que je regarde les fresques peintes pour exalter une identité française plus que débattue, une entrée fracassante me fait lever la tête. Un jeune chinois vient de se délester d'une... on ne peut même pas appeler ça une valise... une malle plutôt, elle pourrait contenir une homme... oui, une malle, qui devait bien peser le double de son poids.

Un petit examen de rien et me voilà à sourire comme une idiote.

Le jeune, parfait Gavroche moderne avec une immense casquette qui lui couvrait les yeux, était accompagné d'un autre, tout droit sorti d'un western spaghetti, santiags incluses, qui affichait une mine impassible.

Décidément, la mafia chinoise devait revoir ses déguisements.

<< Page précédente | 1 | Page suivante >>

Créer un podcast